Le Maréchal Isenduil, s'avança, tout petit, en face du souverain pontife, et émerveillé par l'aura de noblesse qui l'entourait...
Votre sainteté,
C'est un honneur - et je crois pouvoir m'exprimer ici au nom de l'ensemble des Templiers - que de vous voir à nos côtés en ces jours funestes.
Les Templiers n'oublieront jamais le serment qu'ils ont fait de vous servir quoi qu'il advienne de leurs bras et de leurs plumes.
Nous vous remercions également pour l'autorisation dont vous venez de nous donner confirmation permettant à nos frères de continuer à gravir sagement les échelons de la hiérarchie. Vous savez, je crois, combien nous vous sommes fidèles, vous n'aurez jamais à douter de nos actes...
Je vous remercie de prendre le temps de vous pencher sur nos problèmes, peut-être futiles pour bien des personnes, mais cruciaux à nos yeux. Le Temple ne craint pas de voir en vous le juge juste et vrai dont il a besoin aujourd'hui...