Monseigneur,
C'est avec effroi que j'ai rencontré aujourd'hui une personne se reclamant du catharisme.
Vous connaissez sans doute mieux que moi l'histoire de cette hérésie.
Après m'être renseigné sur leurs intentions, je l'ai bien entendu sommée de partir de notre bon village de Vienne, néanmoins il est préoccupant de voir cette croyance païenne refaire surface aussi loin dans le nord du royaume.
Je laisse a vos bons soins de faire remonter l'information auprès de la Curie et d'agir en conséquence afin que ces hérétiques sachent combien il est grave de partir en guerre contre notre pacifique Eglise.
Dieu nous garde